A l’occasion des vacances scolaires, je suis descendue en Savoie afin que Pauline passe la première semaine chez sa marraine du côté d Aix les bains. Le hasard du calendrier a voulu qu’il y ait un trail ce même week end du côté du Bourget du lac. Au départ, je devais le faire avec mon beau frère Fabien mais au moment de l’inscription, il ne se sentait pas prêt pour la distance. Pas grave, je me lance quand même dans cette aventure.
Vendredi 29 octobre, sitôt le travail fini, je saute dans le train avec Pauline. Arrivée un peu après 23h30 à la gare de Aix les bains.
Dimanche matin, Fabien m’emmène au départ de la course pendant que les filles en profitent pour dormir. 9h40, les organisateurs demandent aux coureurs d’entrer dans le sas de départ. Fabien en profite pour m’avertir de partir doucement car dès le départ ça grimpe. Je me faufile vers la fin du peloton en me demandant bien ce que je fais ici….heureusement il fait beau.
On nous prévient de partir prudemment car la première partie est plutôt « roulante » (1000 m de D+ pour 20 km quand même) Et il faut en garder sous le pied pour la deuxième partie beaucoup plus technique et difficile.
C’est depuis le village de Chanaz, que le départ est donné dans une belle ambiance. Il y a du monde en ce début de course pour nous encourager. Fabien ne m’avait pas menti, ça monte bien dès le départ, le ton est donné pour la journée. …
Je pars prudemment. Un petit goulet et la course est lancée. Très rapidement je deplis les bâtons pour m’aider dans les montées. La première partie se fait facilement , alternant montées et descentes. Les sentiers sont agréables à courir (et à marcher 😉)
J’arrive au premier ravitaillement, dans un petit village perché, au bout de 11 km. A chaque ravito on contrôle nos dossards et on nous bip pour le suivi live. A peine reparti, j entend mon téléphone bipper . C’est agréable d’avoir tous ces messages d’encouragement Merci !
Le temps se gâte un peu sur les hauteurs. Je poursuis dans la même allure que ce début de course
Au 17 ème km, Fabien m’attend. Il a déposé la voiture au sommet pour faire la partie la plus dure avec moi. Nous continuons tranquillement jusqu’au deuxième ravito. Je prend un peu plus de temps pour prendre des forces avant la partie plus difficile. Les bénévoles nous souhaitent bon courage pour le morceau qui nous attend……6 km et 1000 m de D+
Nous repartons doucement. Comme attendue, la montée est raide, le sentier est une alternance de rochers, cailloux, racines et feuilles mortes. Je suis bien contente d’avoir les bâtons. La montée me paraît interminable. Fabien se met devant moi pour me faire le rythme. Nous empruntons plusieurs passages cordées dont un plus dangereux, mais des bénévoles sont présents. Fabien m’encourage afin de ne pas déprimer (j’en connais une qui m’aurait donné des coups de pieds aux fesses 😉😂)
Mais ça y est, le sommet commence à se dévoiler, on aperçoit la dent de chat. Là haut, la vue fait vite oublier la difficulté pour monter. Le décor : le lac du Bourget en contrebas, une petite brume et la chaîne alpine avec vue sur le mont blanc. L’endroit idéal pour faire des photos souvenirs.
Il reste encore 2 km pour rejoindre le 3eme et dernier ravito. Cette dernière montée jusqu’au relais se fait plus facilement, j’arrive même à recourir. Là haut, les filles nous attendent
Le dernier ravito est idéalement placé. Plus de montée et une vue magnifique. Petites photos souvenirs avec Pauline. Je reprend le chemin de la course. Fabien qui devait s’arrêter là, décide finalement de descendre avec moi jusqu’à l’arrivée
La descente se fait bien. Très rapidement je double quelques coureurs qui m’avaient doublé dans la montée. Je suis assez facile jusqu’à ce que je m emmêle les pieds dans les bâtons d’un coureur : résultat une belle chute mais surtout une crampe qui me tétanise le mollet. Je suis incapable de me lever. Un coureur me manipule la jambe et au bout d’un moment la crampe disparaît d’un coup. Je continue à rythme plus prudent, redouble tout de même certains coureurs.
La descente commence à piquer un peu les cuisses. Et c’est avec plaisir que je vois l’arche d’arrivée après 6 km de descente pour 1300 m de D-.
Ravi de ce premier trail en Savoie, 5h56 de course pour 34 km et 2050 m de D+.Finalement je crois que la descente m’a fait plus mal aux jambes que la montée.
A refaire, super aventure : parcours très sympa, super organisation et je ne parle pas de la vue
Mais j’espère que la prochaine sera avec les souris 😉
Sandra
En début d’année avec Florent et Sandra nous parlions d’objectif pour la saison, j’ai lancé (sur le ton de la plaisanterie) que mon objectif était de faire le 34 km du radicatrail et vous savez tous comment est Sandra quand on lui parle d’une course que ce soit elle ou une autre personne qui fait la course elle ne vous lâche pas jusqu’à l’inscription. Apres quelques hésitations je me suis lancé dans la préparation de cet objectif.
Pendant 3 moi je me suis entrainé pour être prêt le jour J, le bois du vivier n’a plus de secret pour moi j’ai fait tous les chemins en long, en large, en travers, seul ou accompagné par Alexandre, Florent ou mon père.
Durant la prépa j’ai douté à savoir si j’étais capable de faire une telle distance, heureusement coach Florent m’a motivé à continuer, même Gwen pour qui faire 34km est de la rigolade m’encourage à continuer et que ça le fera.
Deux semaines avant le jour Jà l’entrainement Antho et Florent propose de m’accompagner en faisant chacun la moitié du parcours cela me fait plaisir et me donne confiance je me dis qu’en cas de coup de mou ils seront là pour me booster.
Samedi veille de course je récupère mon dossard, je ne peux plus reculer mon défi m’attend, en attendant j’encourage les enfants, les copains et les copines du CCPB présents sur le 14km.
Dimanche 29 avril c’est le jour J, la nuit a été bonne, je me sens bien. Antho et Florent me rejoignent à la maison et on file chercher Corinne à Bolbec puis direction Tancarville. Là-bas nous retrouvons Didier, ainsi que Sandra et Nathalie engagées sur le petit défi, nous voyons Fabien aussi avant le départ venu nous encourager.
9h30 nous prenons le départ avec Antho, les premiers kilomètres sont vallonnés et nous sommes obligé de marcher souvent le peloton est encore bien groupé. Arrive la partie de la cressonnière dans le bas de Tancarville j’arrive à garder un bon rythme sur cette partie roulante, les deux premières grosses difficultés du jour se présentent à nous vers Saint Jean des Essarts je les montes en marchant, les jambes répondent bien j’arrive à relancer en haut de chacune des côtes.
Avant le ravito nous croisons Cyril le beau-frère d’Antho venu à notre rencontre en VTT il fera un petit bout de chemin avec nous. Au ravito j’avale un verre de coca et mange un TUC pendant qu’Antho fait le plein des flasques. Nous voilà à Saint Antoine au kilomètre 17 ou nous attend Florent pour prendre le relais mais aussi Justine, mes deux enfants, la famille Loré et José. Louis court un peu avec moi, un coucou à tout le monde, je remercie Antho et je repars avec Florent à mes côtés.
Le début de la deuxième partie est assez roulante je suis étonné de ne pas avoir encore de coup de moins bien. Nous arrivons non loin de l’abbaye ou une commissaire essaie d’ouvrir son parapluie je lui propose mon aide (et oui même le dimanche je fais du social) malheureusement je n’arrive pas à lui ouvrir et me rend compte quelques hectomètres plus loin que je me suis ouvert le pouce.
Dans le bois de l’abbaye le premier coup de moins bien arrive en même temps que deux grosses montées, en haut les premières crampes se font sentir, je m’étire rapidement et filons vers le deuxième ravito. Sur les conseils de Florent je m’étire bien, je bois et mange suffisamment avant de repartir. Nous voilà repartis, il me reste deux heures pour faire les 11 derniers kilomètres qui seront les plus durs de « ma carrière » de traileur.
La portion d’après ravito est un peu boueuse, suivi de chemins rempli de cailloux j’arrive tant bien que mal a alterné course et marche. Nous croisons une dernière fois Antho et José qui m’encourage mais que c’est dur. Au 28eme ras le bol général j’ai mal aux jambes, j’ai des crampes je veux arrêter et je ne prends plus de plaisir, Florent me pousse à ne pas arrêter et ne sachant pas ou nous sommes et sans téléphone il ne pourra appeler personne. Sans Florent à mes côtés à ce moment précis de la course j’aurai surement abandonné et je l’aurai regretté alors merci de m’avoir motivé à continuer.
Les quatre derniers kilomètres sont difficile, juste avant la dernière grosse montée nous croisons un commissaire mangeant des curly, je n’ai qu’une envie me poser avec lui boire un coca et grignoter des curly!! On aperçoit Antho venu à notre rencontre pour terminer la course avec nous (que je les aime mes deux anges gardiens présent jusqu’au bout à mes côtés) .
Nous voilà de retour à Lillebonne après la dernière descente pour arriver à la ligne de chemin de fer, je suis obligé de m’accrocher a Florent pour réussir à descendre mes nouveaux muscles me font souffrir. Nous voyons Jean Yves qui nous attend pour finir aussi avec nous, je franchis la ligne en 04h56, je suis fière d’avoir réussi mon défi.
Ce trail m’a permis de découvrir de nouveaux muscles dont j’ignorai l’existence et d’avoir des douleurs musculaires pendant plusieurs jours.
Un grand merci à Antho et Florent de m’avoir accompagné durant toute la course, j’ai de la chance d’avoir des potes comme eux. Merci à toutes les personnes qui m’ont encouragé tout le long de la course. Bravo au CCPB pour les résultats durant ce weekend.
Romain
Journal de bord :
Septembre le 2 de l’année 2017, me voilà embarqué dans une drôle de galère : mon premier triathlon sur les côtes havraises qui fêtent ses 500 ans en grandes pompes (c’est mieux pour courir)!
Arrivée à 14h50 route du Cap pour récupérer les dossards et vérifier le matériel des mousses ! Vu les équipements des collègues on n’est pas là pour rigoler mille millions de mille sabords !
15h20 arrivée sur la plage de Saint-Adresse, le vent n’est pas venu nous embêter en cette belle après-midi ensoleillée. On installe notre paquetage pour la partie course à pied devant notre numéro inscrit au sol dans le sas de changement d’épreuve, tout est parfaitement cadré, les commissaires de course veillent au grain ! Je retrouve Ludo et Maxime qui sont également venus se tester sur le triathlon.
Le traditionnel briefing de course et hop à l’eau ! Willy Dujardin qui est également venu se test… faire un podium!, il nous indique que les 300 mètres de natation initialement prévus sont plutôt 500 mètres de natation !! Aïe ce n’était pas prévu çà…
16h20 le départ est donné, l’eau n’est pas si froide que cela, c’est peut-être l’adrénaline de la course qui la rend plus chaude ! Le début est difficile, ça bagarre beaucoup entre le courant, et les coups des autres concurrents pas évident, mais après quelques minutes ça va mieux le peloton s’étire un peu.
Je sors de l’eau pas trop mal et hop en deux temps trois mouvements me voilà devenu coureur pour 2.5km de montée… Maxime et Ludo sont juste derrière moi.
Pas facile de reprendre le rythme surtout quand ça grimpe !!! Maxime me double à mi-parcours il va un peu trop vite pour moi…
Fin de la première partie CAP, je rentre dans le sas vélo, pas le temps de récupérer c’est à bloc non-stop ! 2 boucles de 5km au programme, la transition est encore une fois un peu compliquée, les jambes sont un peu dures !
Premier tour terminé, j’ai pu prendre quelques repères pour le deuxième tour, je double Willy qui finit son dernier tour de course à pied… Notre photographe d’un jour Yann L. pour ne pas le citer est venu nous encourager, c’est cool !
Le deuxième tour de vélo est top, je me sens bien, double quelques concurrents et arrive dans le sas de transition pour finir par la deuxième partie CAP. Ludo est à juste derrière moi !
Et là, c’est le drame, mes jambes ne répondent plus !! Je n’arrive même plus à marcher, perclus de crampes aux deux mollets, Mayday! Mayday ! Ludo me double mais je n’arrive pas à le suivre c’est dur, je vois Yann qui m’encourage, je m’étire tous les 10 mètres mais rien n’y fait… Je prends mon mal en patience et je me dis que je vais finir en boitillant jusqu’à l’arrivée, tempi.
Et puis je retrouve des ressources inespérées, les douleurs s’estompent peu à peu, j’arrive à trottiner de nouveau, j’essaie de suivre un concurrent qui venait de me doubler.
A yè, je retrouve mes guiboles petit à petit, j’arrive même à rependre quelques concurrents dans le final.
Finisher de mon premier triathlon, certes on était sur un format découverte mais l’enchaînement des disciplines m’a beaucoup plu ! Reste à m’entrainer pour éviter la déconvenue de la fin de course ! A refaire avec d’autres CCPBien(nes).
Avis aux amateurs…
Flo
Il y a quelques mois après un petit événement boulot à Epernay pour Benji (mon frère) nous évoquons la possibilité de faire le Sparnatrail, c'est chose faite ce 13 novembre avec comme « prétexte » les 30 ans du frangin. Geoffroy et Guillaume qui l'ont déjà fait il y a 2 ans complètent le quatuor.
Après un petit tour dans Reims la veille, le réveil sonne à 5h, ça pique un peu…...mais pas autant que les 3 degrés à la sortie de l'hôtel.
Après un petit échauffement et 1 kilomètre groupé pour se rendre au lieu du départ, Avenue de Champagne, la température est bien montée d'un degré.
L'objectif est fixé à 2h40 pour 31,7kms et 700 de d+. Les 8 premiers kilomètres assez plats me font craindre d'être dans le rouge trop rapidement donc on va essayer de rester à 4'30-4'40/km sur ce début de course. C'est la 1ère étape du Trail Tour National 2017 (trail court) ça devrait partir vite.
7h45 c'est parti, 1er faux plat montant de 500 mètres…..Je suis déjà en retard sur les prévisions (4'45/kms). Finalement les objectifs changent déjà au bout d'un kilomètre et les 8 premiers seront avalés en 4'24/kms.
Arrivé au pied de la première longue montée dans les vignobles, les jambes sont bonnes, direction le village d'Hautvillers, un bout de GR 14 nous fait enchaîner montées/descentes plus courtes.
Un normand me double au 10ème, je le croche sur 5kms en haussant un peu le rythme. Le terrain est assez gras par endroit mais pas de glissades aujourd'hui (en tongs c'est plus dur hein benji)
Arrivé à Damery au 17ème pour le ravito, une gorgée de coca et c'est reparti. En traversant la Marne, je me fais manger par la 3ème féminine, belle allure sur le plat, je m'accroche à distance. Voici la 2ème grosse difficulté : une montée de 2,5kms assez raide par endroit, je m'oblige à courir et double pas mal de gars (et une 1 fille).
rrivée en haut premier petit accroc, froid au main et au ventre, je décide de mettre la veste, assez facilement enfilée, mais pas fermée, une veste avec les mains gelées par 3 degrés, grhhhhhhh. ..Obligé de ralentir et de perdre le petit groupe de 3, 500m pour la fermer c'est long non ?
Les jambes semblent revenues au bout de 2kms. L'objectif est toujours là, il reste 7-8kms et je suis à 12km/h de moyenne. Après de nouvelles alternances montées/descentes dans les vignes, un petit avion de chasse me double : un petit bout de femme lancée à vive allure, il reste 3kms me dit-on. J'essaye de la crocher mais ça va trop vite, 2kms on est à 15km/h à la montre et je viens de prendre 100m dans la vue…...au moins j'ai lâché les autres. Un dernier petit sprint sur le dernier kilo à 3'45 dans les rues d'Epernay pour doubler un dernier concurrent et me voilà arrivé dans le gymnase pour franchir la ligne.
Objectif rempli, pas de gros coup de mou ni de tendinites comme à la pointe de Caux, de bonnes sensations de course, 2h41'06 alors qu'il y avait finalement 32,7kms (1 km de plus), 57ème sur 562, 12,2km/h de moyenne. On peut manger et se réchauffer en attendant les 3 compères.
Tout le monde est arrivé entier, même le petit benji avec ses salomon de ville et son premier 30kms, 3h27 et 277ème….belle première. Guillaume en 3h03 et Geoffroy et ses crampes en 3h30.
Une course à refaire avec un temps plus chaud, une vue plus dégagée et une visite des caves.
Direction la Normandie pour la récup…...le 44kms du Téléthon c'est dans 3 semaines !
Il y a un mois nous décidons avec Sophie et Sandra, qui je le rappel ont accouché il y a 6 mois et repris l’entrainement il y a deux mois, de nous inscrire sur le relais du trail de la pointe de Caux. Notre objectif est de prendre du plaisir sans aucune pression.
En ce dimanche 11 septembre nous voilà partis en direction de Gournay pour prendre le départ de ce beau mais néanmoins difficile trail. Sur place nous retrouvons Corinne, Fabien, Emeric, Yann et Didier qui le font en individuel et les trois lièvres Gwen, Christophe et Laurent la deuxième équipe du CCPB en relais.
Sandra est partie la première pour faire les 14.7 premiers kilomètres jusqu’à Rolleville. En attendant Sandra Sophie commence un peu à stresser, l’arrivée de Julien et de ses deux enfants avant son relais lui font du bien. S’est épuisée mais avec le sourire que Sandra donne le relais à Sophie pour les 16 kilomètres suivant en direction de Gonneville la Mallet.
Quand Sophie est arrivée à Gonneville, je me dis que je dois être à la hauteur de ce que mes deux coéquipières venaient de faire c’est-à-dire donner le maximum. Je récupère le brassard du relais et part pour les 17.8 kilomètres avec en tête les trois valleuses que nous avons reconnu à l’entrainement 3 semaines auparavant.
Apres avoir fait 3 kilomètres seul dans le bois de Beaurepaire je me suis demandé si jetais dans la bonne direction, je fus rassuré quelques mètres plus loin en apercevant Fabien au bout d’une ligne droite, je le rattrape (il avait déjà fait 34km et moi seulement 4) après m’être assuré que tout allait bien pour lui je poursuis mon chemin. La 1ere cote à Pierrefiques se montent en courant les pourcentages ne sont pas fort
J’arrive au ravitaillement situé au 10eme kilomètre en 1 heure je suis content, je me dis que je peux finir en moins de deux heures même si le plus dur est à venir. Au ravitaillement je me fais un petit plaisir morceau de banane et chocolat fondu dessus avec un petit verre de coca.
500 mètres après le ravito la valleuse d’Antifer pointe le bout de son nez, je me mets en petite vitesse (pensée pour Laure) et je monte au train jusqu’en haut. Au kilomètre 12 je croise Yann entouré de 3 personnes des secours, il me dit que le ravito de Gonneville n’est pas passé mais que ça va aller, je reprends mon chemin vers la deuxième et troisième valleuse. J’aperçois Corinne qui remonte une valleuse quand moi j’en descends une, je me lance le défi de la rattraper pour essayer de finir avec elle mais je n’y parviens pas.
Me voilà au golf, je profite du paysage en pensant que le plus dur est fait mais non !!!!!!! Une dernière cote nous attend pour monter jusqu’à la chapelle et redescendre sur le front de mer.
Je savoure les derniers mètres avant la ligne d’arrivée, l’objectif est atteint je passe la ligne en 1h57 avec le plaisir présent tout au long du parcours (et oui Antho j’ai réussi à prendre du plaisir sur une course !!!!!)
BRAVO à Sandra et Sophie pour ce qu’elles ont fait hier, de véritables championnes. L’année prochaine on le fait en entier !!!!
Félicitations à toutes les personnes du CCPB présentes ce dimanche.
Merci au CCPB pour tous les conseils depuis 3 ans, que de chemin parcouru !
A mardi
Romain L.